"Et c’est par Elle ! – A mon corps anxieux
A mon esprit par un poids oppressé
Rien ne s’offrait que spectres pour les yeux
Et le désert pour le cœur désolé.
Mais maintenant, sur un seuil que je sais
Elle se montre, et le soleil parait."
A mon esprit par un poids oppressé
Rien ne s’offrait que spectres pour les yeux
Et le désert pour le cœur désolé.
Mais maintenant, sur un seuil que je sais
Elle se montre, et le soleil parait."
Goethe - Élégie de Marienbad - Gallimard- p49.